Une montre de luxe

Le savoir-faire avec un brin d’extravagance. Voilà comment on pourrait décrire l’Astronomia Casino du grand horloger joailler Jacob&Co. Cette merveille d’ingénierie fait partie de la suite Astronomia de l’horloger. Comme ses sœurs, cet montre fabuleuse illustre les rouages de notre univers. Mais pas que. Contrairement aux autres, elle possède une véritable roulette de casino incrustée dans son cadran. Et le comble, c’est qu’elle est tout à fait fonctionnelle.

Fidèle à son nom, l’Astronomia Casino est une montre lumineuse et aérienne. Le cadran rappelle l’espace et ses milliers d’étoiles. Il est toutefois entouré par les cases d’une magnifique roulette en email rouge, noir et vert. Comme pour renforcer l’idée, les représentations de la Terre et de la lune sont montées sur cette montre. La lune est faite d’un diamant à 288 faces, tandis que notre planète est en magnésium laqué de bleu. Bien évidemment, l’ensemble est loin d’être statique. Chaque élément de la montre tourne et bouge. En plus d’être submersible jusqu’à 30 mètres (mais qui aurait l’idée de se baigner avec un tel bijou de technologie et d’orfèvrerie?), cette montre est équipée du mécanisme Tourbillon. Celui-ci assure l’exactitude de l’heure au fil du temps.

Pour la présentation, le tout tient dans un boitier en or rose de 18 carats, surmontés d’une glace en cristal antireflet. Le pourtour de la montre est également en cristal, afin de permettre d’observer les différentes composantes. Quand à son boitier, il va avec l’esthétique et le positionnement luxueux de cette montre qui nous propulse à la fois dans le monde du casino et des rotations planétaires.

Même équipée de toutes ces fonctionnalités et sophistications , la montre possède une ligne élégante et fine. Elle fait à peine 47 mm de diamètre pour 24 mm de hauteur.

Une roulette française intégrée

Les amateurs de roulette tomberont d’emblée sous le charme de l’Astronomia Casino. Grâce à cette minuscule roulette reproduit à la perfection, on pourra évaluer ses chances et s’amuser à tout moment. C’est un peu comme posséder un mini-casino au poignet. La délicate roulette comprend 37 cases de 0 à 36, comme toute bonne roulette française qui se respecte et la bille est faite en céramique. Bien sûr, tout est étudié avec une précision horlogère et cette dernière ne risque pas de nuire au mécanisme. Le grand savoir-faire de Jacob&Co évite ce genre de désagrément.

Pour actionner la roulette, un petit bouton est monté à 8 h. La vitesse de rotation de la machine reste la même à chaque lancer. Toutefois, pour des conditions de jeu optimales, lors d’une partie entre amis par exemple, l’horloger conseille de poser l’objet sur une surface plane.

Ne vous inquiétez pas pour l’autonomie de ce jeu de roulette ambulant comme pour le reste, ce bracelet-montre est mécanique. De fait, il ne nécessite pas d’énergie autre que celle induite par un mécanisme prévu à cet effet. Pour l’anecdote, Drake, rappeur canadien et grand parieur, fait partie des quelques 88 possesseurs de l’Astronomia Casino.

Dr Geek, une machine à sous pour les Geek

Comme vous n’avez pas forcément les moyens de vous payer tout de suite ce bijou dédié au casino, nous avons décidé de prolonger le sujet un peu autrement. Cette fois-ci, nous passons du côté des éditeurs pour vous présenter un jeu de casino qui met, à sa façon, les geek à l’honneur. C’est une machine-à-sous vidéo de dernière génération signée KA Gaming. Elle a pour nom Dr Geek. Il ne reste plus qu’à actionner la machine pour savourer tout le plaisir de l’expérimentation !

Ce jeu nous emmène aux côtés de Dr Geek, un inventeur un peu zinzin, avec son nœud papillon et ses cheveux hirsutes. La machine à sous est composée de 5 rouleaux et de 4 rangées. En plus d’une demi-dizaine de symboles, elles proposent les grandes fonctionnalités classiques des machine-à-sous les plus modernes : il s’agit bien sûr du joker, le Wild et du symbole de dispersion, le Scatter.

Si la chance vous sourit, vous comprendrez bien vite pourquoi ces deux symboles sont si intéressants. Déjà, le scatter permet de gagner des tours gratuits. Pour ce faire, il faudra tomber sur 3 symboles Scatter au minimum. En plus, vous pouvez également espérer un Respin, autrement dit un tour offert sans mise nécessaire, durant ces tours gratuits. Pour ce faire, il suffit qu’apparaissent 4 symboles Wild empilés les uns sur les autres. Cela peut paraître un peu compliqué si vous n’avez jamais joué mais en réalité, il suffit de faire quelques tours de rouleaux sur Dr Geek pour tout comprendre.

Les fonctions spéciales ne sont pas les seules qui puissent faire votre bonheur. Cette machine à sous et son professeur à la Einstein, plus « nerd » que geek comporte 50 lignes de paiement, soit 50 différentes configurations valides (et payantes) de symboles. Que demander de plus ?

Si ce jeu de casino ne vous a pas convaincu, inutile de dire que sur les thèmes de la pure science-fiction ou des univers fantaisies, il en existe aujourd’hui des légions dans les casinos en ligne. Certaines sont gratuites et offre en retour des crédits virtuels, d’autres permettent d’effectuer de vraies mises et sont à consommer avec modération, en fonction de son budget.

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Evolution de la définition de Geek

Étymologiquement, le mot « geek » a connu diverses transformations. Au Moyen-Âge, il désignait un oiseau. Puis, c’était l’appellation d’un travailleur du cirque qui mangeait tout ce qu’on lui donnait. Mais le plus souvent, ce terme a servi à traiter quelqu’un d’idiot ou d’imbécile. À un autre moment, les geeks étaient de jeunes gens qui affichaient des centres d’intérêt différents de ceux des personnes de leur âge. Cette notion d’étrangeté est toujours d’actualité, mais les jeunes assument de plus en plus leur unicité.

Toutefois, le mot « geek » a trouvé sa signification actuelle avec l’explosion d’Internet. De là, les sociologues ont réussi à trier les vrais geeks en 2 catégories. D’un côté se placent ceux passionnés par la technologie, l’informatique et le numérique. De l’autre, il y a ceux qui aiment se perdre dans l’univers fantastique de la science-fiction. Néanmoins, aucune ligne réelle ne sépare ces 2 groupes. En effet, les geeks mêlent souvent ces 2 passions. A l’ère du tout technologique, les mondes imaginaires se déclinent sur tous les supports. Il faut, toutefois, de la technique pour faire un geek. La lecture du Seigneurs des anneaux ne fera pas de vous un geek, mais vous pouvez toujours le lire. C’est un excellent ouvrage d’un respectable professeur d’Oxford extrêmement lettré et talentueux.

Un geek, un vrai

Les geeks présentent souvent des caractéristiques communes. D’abord, ils sont curieux et avides de savoir. Ils ne jugent jamais selon l’apparence, car ils prennent le temps de connaître réellement quelque chose ou quelqu’un. La vie intérieure est une composante importante dans le monde des geeks.

Cependant, comme nous le disions plus haut, ils présentent bien un point commun : l’attirance pour tout ce qui est relié à la technologie, la science-fiction, l’informatique et les jeux vidéo et même souvent les gadgets technologiques ou en relation avec les univers Sci-fi ou fantasy qui leur plaisent.. Bien sûr, il n’est pas nécessaire de vouer une passion pour tous ces domaines pour se définir comme un geek. La définition est tellement vaste qu’on pourrait presque désormais désigner des sous-familles ou faire des classifications par famille d’intérêt, sans oublier les inclassables.

Souvent, les geeks ont acquis avec les moyens du bord leurs compétences. Comment ? Tout simplement en faisant des recherches, bref en étant auto-didacte. Et vous serez surpris de constater à quel point ils maîtrisent un sujet ! Le temps consacré à la technologie ou sur des supports informatiques est aussi devenue une donnée importante pour définir le geek.

Certains geeks peuvent préfèrent les interactions en ligne que les rencontres directes. Sans être asocial à l’extrême, ils se sentent alors plus à l’aise dans le monde virtuel. Paradoxalement, ils ne ratent pas une occasion d’assister à des conventions et colloques associés à leur domaine de prédilection pour partager à plein leur passion en compagnie de gens qui la partagent aussi et avec lesquels ils peuvent parler le même langage.

Enfin, les vrais geeks ne perçoivent pas le mot « geek » de manière péjorative. Ce traitement les laissent souvent indifférents. Du reste, on s’auto-designe souvent soi-même de geek : je suis un geek. Le vrai geek sait qu’il est geek. C’est ça le vrai truc. Il l’admet et il aime ça. Il l’assume. On est loin du verbe péjoratif des origines.

Petit mot sur la gent féminine. Le terme geek renvoie encore souvent à l’image d’un adolescent surdoué, scotché sur son ordinateur. Cependant, de plus en plus de femmes revendiquent ce statut de par leur passion et de par l’entrée massive de la technologie dans la vie de tout le monde, par les ordinateurs, mais encore plus par les smartphones et leur apps.

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Le fantastique et la technologie

La culture geek désigne les manifestations autour de l’imaginaire en premier lieu. Une grande partie des produits de la culture geek est empreinte de fantastique et de science-fiction : livres, figurines, BD, conventions, jeux vidéo ou encore série télévisée. Pour faire simple, on pourra la voir comme un melting-pot d’œuvres issues de la culture moderne.

La culture geek est construite, puis entretenue, par une communauté de personnes passionnées, avec beaucoup de créativité et de technophilie. Ce dernier point est inséparable de cette sous-culture. En effet, internet a permis de donner une existence commune au phénomène, puis booster son développement. Pas de Geek, sans informatique, internet et technologie.

Certains diraient que la culture geek est la conjugaison de l’imaginaire et de la technologie. Les jeux vidéos, comme The Legend of Zelda ou Ligue of Legends, en sont de parfaits exemples. Ils s’y mêlent aussi souvent l’amour des gadgets technologiques et le côté fan pour des saga sci-fi ou medieval fantaisie : Star Ward, LOTR, etc… Egalement, il n’est pas rare qu’un geek occupe une niche, soit un univers particulier et personnel qu’il s’est construit autour de ses propres centres d’intérêts.

Geek, nerd et gamer

Du point de vue des définitions, nombreux sont ceux qui ont tendance à mélanger l’univers geek, nerd et gamer. Faisons un petit point sur cette question. Geek, nerd et gamer, quelles différences ? Si le geek présente une partie des caractéristiques des deux autres, des différences subsistent.

Le nerd a une connaissance très approfondie des sciences, notamment les maths et l’informatique. Son niveau de compétence dans ces domaines est, en général, élevé. Néanmoins, il est souvent limité dans d’autres domaines et se consacre de manière plus spécialisé à sa passion technologique et scientifique. Le geek est bien plus éclectique et il n’est pas nécessaire d’être super compétent en informatique pour être un geek. La notion recouvre plus le temps qu’on y passe qu’un niveau particulier.

Quand au gamer, il est d’abord et avant tout spécialisé dans les jeux vidéos et il y passe du temps (quelquefois beaucoup de temps). Il y a deux écoles. Un gamer, par exemple, pourra se spécialiser dans un genre (esport, rpg, arcade, …) ou sur un jeu unique, mais un grand nombre d’autres gamers sont généralement touche-à-tout et aiment explorer plusieurs titres. Quoiqu’il en soit, on range souvent le gamer à l’intérieur de la culture Geek, car ses centres d’intérêts débordent, la plupart du temps, du jeu vidéo vers ses univers périphériques : technologies nécessaires aux jeux, ordinateurs et matériel boostés, usage intensif d’internet, films et culture en relation avec les univers des jeux (scifi, médiéval fantaisie, manga, etc) et même, pour certains, cosplay, salons dédiés, fan collector, etc…

L’attrait pour les mondes fantastiques sous divers formats (livre, films…) est presque indissociable du geek d’aujourd’hui. Si de nombreux salons sur ces mondes mélangent d’ailleurs les univers et les genres, ils ont presque systématiquement une partie dédiée aux jeux vidéos.

Les monuments de la culture geek

Sans pouvoir donner une liste exhaustive, on peut quand même avancer que certaines œuvres sont devenues indissociables de la culture geek.

Les mondes fantastiques sont généralement puisés dans les livres. Le Hobbit et le Seigneur des Anneaux de Tolkien, père fondateur du genre fantasy, en sont les représentants les plus célèbres. La science-fiction est principalement portée par les comics, et par certains auteurs comme H.P. Lovecraft et Isaac Asimov. Du côté cinéma, on en appelle souvent à Star Trek et Star Wars, tandis que The Legend of Zelda est l’un des jeux vidéo récents les plus mythiques. N’oublions pas Donjon et Dragons, un jeu de table devenu culte.

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